De tes caresses

De tes baisers

J’ai faim de ta voix

Qui me caresse

Et me laisse sans voix

J’ai faim de tes baisers

Tes lèvres qui se promènent

Et me cherchent

Parfois J’ai faim de ton absence

Que je dévore d’impatience

Tu es là malgré ça J’ai faim du silence

Qui s’installe quand

Tu t’endors et que

Ton souffle caresse

Ma joue en l’embrassant

J’ai faim des étoiles

Qui me racontent

Ton histoire

Toi qui illumine

Ma mémoire

J’ai faim et je t’entends

Dire à mon cœur

Qu’il n’ait plus peur

Que tu me protèges

De mes frayeurs

Tu es là, mon chevalier

Moi ta soumise

Tu souris

Et j’oublis

La faim

On va s’aimer

Toute la nuit

Moi l’affamée

De tes baisers

Je suis à toi

En sortant le matin de cher moi
J’ai trouvé une fille crucifier à une croix
On exprimant un tel désarroi
Je me suis demander qui a pu lui faire ça
Elle m’a dit que ça venait de moi
Ses paroles me transpercèrent comme un tonnerre
Et j’ai dis : quelle est ma cause dans cette affaire ?
Et surtout à cet être échappé à de l’enfer
Elle a dit : je ne parle pas de moi
Mais de celle que tu as briser le cœur
Tu as vu combien elle a peur
De croiser encore un jour ton esprit saboteur
Je te donne un conseil ; va la trouvé
Et insiste pour qu’elle puisse te pardonner
Tu sais qu’elle t’a vraiment aimer
Et voilà comment tu l’as remercier.
Dédier à ceux qui on le cœur brisé.

Sur mon chagrin

Faisant des blessures dans mon chemin

Les nuages dans le ciel pleurent

Sur les chagrins de mon coeur

Le matin étend mes larmes sur la corde

Une à une dans le bon ordre

Que le soleil transforme en diamant

Pour les offrir aux roses tel un amant

La nuit a déposé des perles de lune

Aux doigts des arbres dans la brume

En les regardant mon coeur a pleuré

Se souvenant d'une larme tombée

Et notre amour
Une île le vent tes baisers
La tempête les vagues nous emportent très loin
Je suis vague
Je t’enlace te caresse
Tu m’inondes et m’emportes
On échoue
Sur le sable
Je suis grain de poussière de corail
Tu es là tu me roules me caresses
Et je fonds
Je me dissous
Et le zéphyr me caresse me réchauffe
Me façonne et m’emporte
Sur la terre je m’enterre
Je me terre je me cache
Mes tourments
Me rattrapent tu t’enfuis
Dans la nuit
Et je crie ma peur ma frayeur
Mes frissons
Tu reviens mon fantôme
Tu me prends et m’emportent
Dans mes étoiles
J’aime la nuit c’est l’oubli